Le groupe de Françoise Stutz vient de découvrir comment les pores nucléaires régulent la vitesse de fabrication de l’ARN des gènes qui y sont relocalisés. Ces travaux, publiés le 27 septembre 2013 dans Molecular Cell, révèlent ainsi un nouveau rôle pour les quelques centaines de pores de chaque noyau, qui constituent autant de microscopiques usines de transcription des gènes.